Salutations à tous et à chacun et chacune.
D'abord je tiens à rappeler, dans l'objectif de préserver l'être, mon désir du respect de l'article relatif à la laïcité énoncée dans le droit constitutionnel du régime politique en vigeur sur le teritoir de France, lequel est garant de la liberté de culte et de conscience de chacun de mes concitoyens, alors que ma volonté est de veiller au bien - être de chacun justement ou pertinemment dans le bien fondé de la liberté de chacun et chacune concernant la laïcité.
Vous entendrez, je l'espère, la notion de liberté, dans le besoin de vraissemblence ; lequel, j'espère, se présente naturellement à chacun d'entre nous ou dumoins sur ce forum, comme un vide sémantique laissant à l'esprit un mouvement possible vers un bien au mieux ou un mieux, lequel serait déjà un bien.
J'énonce ainsi une appréciation regrétable de l'état des choses selon ma perception ; Laquelle je prend comme référence à mes actions et à l'objet de mes propos dans l'objectif d'atteindre le bien au mieux ou un mieux ; Lequel serait déjà un bien.
En effet, je conçois l'être parmis l'être dans l'amour et la jouissance réciproque de chacun d'entre eux. Ainsi, être dans la souffrance ou souffrir de l'être souffrant conduit ma volonté d'être dans l'action opposé à l'action qui s'oppose à l'être.
La corrélation vocabulaire dédié à ce forum voudrait alors un énoncé de mon propos en relation avec l'entendemant du vocable "meta - physique" entendu, me semble t - il comme un précédent ou un succédant à la physque ; Et, ou alors, ou comme un étant, avant et, ou alors, ou après l'étant.
Cependant, selon les observations au long des années vécues, je conclue brièvement et pour un instant seulement, l'état des choses est "communémant" perçu et placé en intersection du vraissemblant comme un modèle commun dans l'instant ; Lequel est de surcroit présenté comme un modèle constant, en infraction de plus du droit de liberté relatif à la laïcité.
Ainsi, l'exprérience matérialiste, dont le fondement philosophique a été perdu au fil des temps, s'impose dans des établissements publique dans une législation rendant l'interprétation de la nature de l'être vraissemblablemant sujette à la perception des acteurs d'enseignements lesquels sont eux même sujets au phénomène qu'ils cultivent à leur tour.
Alors, ici, le vocable meta - physique a perdu toute pertinence dans quelque conversation ; Puisque qu'il est question de l'état des choses ; Il est mis à l'écart de l'être l'idée de mouvement, de changement, de progrès.
Je viens mettre fin à ce dogme "commun", ce scientisme ; Lequel est un fil consécutif à une idée ; Celle ci simplement une étude matérialiste de l'état, empéchant l'être de s'épanouir librement.
Et j'appuye précisément sur le verbe qui vient subtiliser la place de l'être, alors dans l'action l'être présent est un autre être ; Et sans donner de sens commun à l'être semblable toutefois à tout être ; Parce que je pense l'être libre d'être à nouveau être libre d'être libre.
J'entend alors à nouveau le souffle de l'être qui fût et qui sera ; Je peux alors, prendre soin de la meta - physique ; Laquelle conduit l'être d'être en être en me rassurant qu'ainsi chacun des êtres sont conduit d'être en être, étant.
J'ouvre grandemant la pensé d'amour qui accompagne ma volonté d'aborder l'avant et l'après l'être avec ma faiblesse de vouloir donner ou rendre à chacun l'être dont chacun devrait jouir dans l'amour.
Alors je tiens à montrer une nature plus grande, plus respectueuse, plus sensible.
A présent, je conçois l'être dans l'être et chaque être jouissant de l'amour de chaque être. Aussi avant d'aller à l'être conçu ainsi par amour de l'être, pour l'amour de l'être, dans l'amour de chacun et l'amour de l'être aimant chacun, je veux donner à chacun le même sentiment d'amour à l'égard de chacun, c'est pourquoi je veux vous parler de moi aussi, à titre individuel, en tant qu'être à part entière et aussi en tant que multitude d'être aimés et aimants.
En effet, j'ai pris soin de ma vie comme j'ai pris soin de la vie.
J'ai écouté ceux qui parlent.
J'ai lu ceux qui écrivent.
Ainsi j'ai conduit mon imagination depuis ma naissance à ce jour sur le sol et sur les eaux au - delà de ma vie avant ma naissance et au delà de ma vie après ce jour afin de conduire ma vie de jour en jour pour vivre l'amour.
J'ai ainsi imaginé le sol et les eaux avant ma vie et après ce jour dans l'idée de vivre chaque jour comme chaque jour durant lequel j'ai vécu l'amour.
Voilà pourquoi j'écris ici le sens de ma vie. Celle - ci est sensiblement celle d'un être sensible. Elle est consciencieusement celle d'un être consciencieux.
Sensible et consciencieux, l'être, lequel vie dans la multitude par amour de l'être, pour l'amour de l'être, dans l'amour de l'être.
Lorsque ceci est, je suis un être. Alors l'amour est le sentiment.
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